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Cette évolution démographique soulève de nombreuses questions. Tout d’abord, davantage de personnes âgées devront être soignées, suggérant des financements des retraites élevées et des infrastructures appropriées. Pourtant, certains auteurs dénoncent les politiques de vieillissements trop centrées sur les retraites, la santé, les réformes de soin et la dépendance des personnes âgées (George & Gaudron 2010, McGarry, 2012). Pour ces auteurs, il faudrait plutôt chercher à prévenir la dépendance et la perte d’autonomie des seniors, afin de réduire les coûts à la collectivité. Ensuite, de nombreux auteurs insistent sur la nécessité de considérer la vieillesse dans toute sa complexité. Cette « population plurielle » (George & Gaudron, 2010), se caractérise par des situations différentes en fonction des niveaux de dépendances et d’autonomie de chacun (Rialle, 2015). L’Organisation Mondiale de la Santé, dans son Guide Mondial des Villes amies des Aînés de 2007, parle du « large éventail de capacités et ressources » des seniors, signalant que l’hétérogénéité des personnes âgées s’accentue avec l’âge. Il apparaît alors nécessaire que les pouvoirs publics prennent davantage en compte la diversité de la vieillesse, (D’Andréa & Zérillo, 2015) 

Pour beaucoup de monde, les seniors seraient des « impensés urbains »
Blein & Guberman, 2011

A cette dynamique de vieillissement de la population s’ajoute une forte croissance de la population urbaine mondiale, de 3,6 milliards de citadins en 2012 à 6,3 milliards en 2050. Ce jumelage entraîne une réflexion sur la capacité des villes à s’adapter afin d’améliorer la qualité de vie des personnes âgées, encourageant leur intégration sociale, économique, culturelle et politique. George (2013) présente les rôles que l’Etat français et les départements jouent, mais suggère que c’est aux communes que revient le rôle central. Comme mentionné ci-dessus, la vieillesse présente une diversité de situations, et qui d’autre que les communes serait mieux armé pour identifier ces situations au niveau local et y répondre de manière appropriée ? Dans les mots de Renaud George, Vice-Président de la Métropole de Lyon en charge de la Commission Développement Solidaire et Action Sociale, « Vieillir est d’abord un enjeu urbain » (George, 2013). 

Toutefois certains auteurs mentionnent un stigmate, indiquant que pour beaucoup de monde, les seniors seraient des « impensés urbains » (Blein & Guberman, 2011). Biggs & Carr (2015) décrivent les espaces urbains comme étant aménagés pour un citadin type : le professionnel adulte, qui travaille, produit et consomme dans la ville. Dans un tel espace urbain, les personnes âgées souffriraient d’isolation sociale, gênées par des obstacles, tant physiques qu’institutionnels. Pourtant villes et vieillesse ne sont pas nécessairement en opposition, puisque les centres urbains peuvent offrir de nombreux atouts très attirants pour les seniors.

Le maintien de l’autonomie, des réseaux, et d’activités sociales et culturelles sont parmi les raisons pour lesquelles vie urbaine et vieillesse sont complémentaires (Blein & Guberman 2011, Biggs & Carr 2015). Courtes distances, commerces de proximité, espaces verts et infrastructures de transports en commun apparaissent ainsi comme bénéfiques aux personnes âgées, réduisant leur risque d’isolement et de solitude. Si les centres urbains apportent beaucoup aux seniors, l’inverse est également vrai. George (2013) souligne les gains de l’économie présentielle et de la participation locale, indiquant que les personnes âgées sont beaucoup plus susceptibles que d’autres tranches d’âge de consommer des produits locaux et d’encourager le développement économique de leur quartier ou leur ville. 

L’intergénération en ville 

Si quatre générations cohabitent aujourd’hui, elles seront cinq demain. Les relations intergénérationnelles sont parfois troublées par une compétition pour les ressources, entre baby-boomers et leurs successeurs, conduisant à un « éclatement » entre générations, une différenciation générationnelle, marquée par des mutations démographiques, sociales, politiques et économiques (Hummer & Hugentobler 2007, McGarry 2012,). Toutefois, il faut plutôt comprendre l’intergénération comme une entraide, une recherche d’entente, pour diminuer les différences intergénérationnelles (Hummel & Hugentobler, 2007). 

Une telle entraide est susceptible de générer de nombreux bénéfices, aussi bien pour les personnes âgées que pour les jeunes. Qualifiés et compétents, les seniors d’aujourd’hui et de demain sont décrits comme des atouts « sous-utilisés » par la communauté (van Vliet, 2011), « à recycler » (George, 2013), qui peuvent encore contribuer à la société (Biggs & Carr, 2015) par le bénévolat et la participation à des activités sociales et culturelles. Leur participation dans la société leur permet d’une part de renforcer leurs liens sociaux (Blein & Guberman, 2011), et d’autre part de leur fournir un sentiment d’utilité sociale dans la vie communautaire (Hummel & Hugentobler 2007, Olazabal & Pinazo, 2010).

Encourager jeunes et seniors à habiter au sein d’un même espace urbain permettrait d’éviter l’homogénéité générationnelle et de contrer la ghettoïsation de la vieillesse (Blein & Guberman, 2011), minimisant le sentiment d’isolement (Olazabal & Pinazo, 2010). Aidés et instruits par leurs aînés, les jeunes ont une meilleure confiance en soi et des meilleurs résultats scolaires, favorisant leur insertion sociale et professionnelle (Hummel & Hugentobler 2007, Olazabal & Pinazo, 2010). En somme, cette participation citoyenne et ces engagements sociaux de multiples générations conduiraient à un tissu social plus cohésif (Bernard 2008, Olazabal & Pinazo 2010) et permettrait de réduire l’âgisme (van Vliet 2011, Biggs & Carr 2015).

Dans l’espace privé, ces relations intergénérationnelles se réalisent au travers de colocations intergénérationnelles ou d’immeubles intergénérationnels. Si dans le premier cas seniors et plus jeunes vivent sous le même toit, dans le deuxième ils vivent de leur côté dans le même bâtiment. Dans les grandes villes, la cohabitation intergénérationnelle permet de réunir des personnes âgées propriétaires et des jeunes étudiants  (Némoz, 2008) ou un jeune ménage (Bernard, 2008) cherchant à réduire leur loyer en échange de services (courses, compagnie, tâches ménagères, bricolages), conduisant à de nouvelles solidarités urbaines et résolvant le problème d’isolement des seniors (Némoz, 2008).

Pour Bernard (2008), il ne s’agit pas uniquement de partager un espace commun, mais de créer des projets de vie basés sur l’entraide. Tout comme la vieillesse renvoie à des situations multiples, Némoz (2008) mentionne trois différents types de cohabitation intergénérationnelle, influencés par la nature et la force de la relation entre jeunes et seniors, et appelle les acteurs publics et privés à en prendre compte lors de la mise en place de telles cohabitations. Bernard (2008) invite les puissances publiques a ne pas décourager l’habitat intergénérationnel, duquel elles peuvent également bénéficier au travers de baisse du besoin de logement adapté au seniors, d’une relâche de la pression immobilière et d’une facilitation de la mixité sociale. Dans le cas d’un immeuble intergénérationnel ou d’habitats alternatifs, D’Andréa & Zérillo (2015) mentionnent également la mise en place de solidarités particulières entre les habitants. 

L’aménagement et la gouvernance d’espaces publics intergénérationnels ont sollicité l’attention de nombreux auteurs, qui présentent des éléments clefs pour assurer le bon fonctionnement de quartiers intergénérationnels. Il s’agirait tout d’abord d’encourager le développement d’espaces multifonctionnels, encourageant une diversité d’usage (Ammann & Heckenroth, 2012) ce qui permettrait alors une meilleure utilisation des fonds et des infrastructures urbaines (van Vliet, 2011).

Les jeunes et seniors sont ceux qui passent le plus de temps dans leur quartier, mais qui néanmoins sont les derniers à participer à la prise de décision

Des auteurs indiquent qu’il ne faut toutefois pas éclipser les besoins spécifiques de chaque génération (Biggs & Carr, 2015), et encouragent ainsi un équilibre réfléchi entre les services intergénérationnels et ceux destinés à une génération particulière (Amman & Heckenroth, 2012). McGarry (2012) nuance ce propos et prévient qu’il ne faut pas trop se concentrer sur les personnes âgées uniquement, au risque d’exclure les plus jeunes et de manquer l’opportunité d’améliorer la ville pour tous. Si ces auteurs insistent sur l’importance d’équipements appropriés, ils ajoutent également que l’infrastructure seule ne suffit pas (D’Andréa & Zérillo, 2015). Biggs & Carr (2015) mentionnent alors ce qu’ils appellent le « paradoxe de la participation dans le quartier » : les jeunes et seniors sont ceux qui passent le plus de temps dans leur quartier, mais qui néanmoins sont les derniers à participer à la prise de décision.

Ainsi, afin d’assurer le respect des besoins de chacun, de nombreux auteurs appellent les acteurs territoriaux à prendre en compte seniors et jeunes dans l’aménagement et à encourager leur participation dans la planification, la conception et la gestion des espaces qui leur sont destinés (Amman & Heckenroth 2012, D’Andréa & Zérillo 2015, Van de Casteele 2016). Outre les bénéfices présentés ci-dessus, la participation des jeunes et aînés dans la prise de décision conduirait à l’aménagement de quartiers intergénérationnels sécurisés, peu chers, offrant de nombreux magasins et services de proximité et espaces verts (van Vliet, 2011). Malgré ces avantages, certains auteurs critiquent les politiques publiques, encore trop sectorisées, et encouragent une approche transversale, suscitant l’intervention de multiples domaines, acteurs et compétences (D’Andréa & Zérillo 2015, George & Gaudron 2010). 

La mobilité des personnes âgées 

La mobilité est importante pour les personnes âgées puisque c’est un facteur clef du maintien de leur autonomie et de leurs liens sociaux (SilverEco.fr, 2016). Se déplacer leur permet de lutter contre l’isolement et la désocialisation progressive (Flochlay, 2015). Si la voiture leur assure ainsi une certaine autonomie et leur permet de participer à des activités sociales et culturelles, l’arrêt de la conduite pourrait alors être vue comme un signe d’entrée dans la dépendance (Dumas, 2012).

Malgré l’importance de la mobilité pour les seniors, il n’est pas toujours facile pour eux de se déplacer. Des freins à la mobilité se manifestent au travers d’obstacles financiers, territoriaux, sociaux ou bien physiques et cognitifs (Van de Casteele, 2016). La raison du déplacement, la proximité des liens de sorties et la peur de tomber ou de se faire agresser sont des facteurs influençant la décision de se déplacer ou non (Dumas, 2012). Si les transports en communs semblent être une bonne alternative à la conduite, leur usage est fortement lié à leur pénibilité, qu’il s’agisse de se rendre à la station, d’attendre les transports ou de rassembler les informations nécessaires à leur voyage (Dumas, 2012). Bien que la conduite soit importante, beaucoup d’aînés sous-estiment leur capacité à conduire, et entrent plus tôt dans la dépendance (Dumas, 2012). Le dernier kilomètre est également un enjeu majeur, limitant la mobilité des seniors qui craignent de s’aventurer dans un environnement peu sécurisé et aménagé (Dumas 2012, SilverEco.fr 2016, Flochlay 2015). 

Face à ces enjeux et au besoin de maintenir la mobilité et l’autonomie des seniors, plusieurs solutions sont possibles. De nombreux auteurs appellent à la centralisation de l’information de transport et une meilleure coordination des services disponibles afin d’améliorer la lisibilité de l’offre (Van de Casteele 2016, Flochlay 2015). Compte tenu de l’importance de la conduite, Dumas (2012) suggère la mise en place de bilans de compétences et stages de remise à niveau destinés aux seniors pour retarder leur abandon de la voiture.

Le Ministère de la transition écologique et solidaire, dans sa synthèse des Assises de la Mobilité de 2017, note qu’il ne faut pas se contenter de centraliser uniquement les informations sur les transports en commun, mais qu’il faut également inclure toute solution de mobilité alternative, tels que le transport à la demande, la mobilité partagée, et le transport accompagné. Ce dernier suscite un intérêt particulier chez de nombreux auteurs (Dumas 2012, Flochlay 2015, SilverEco.fr 2016, Van de Casteele, 2016). Tout particulièrement, Flochlay (2015), identifie deux profils de seniors : l’un pour qui se déplacer est nécessaire, l’autre pour lequel se déplacer nécessite un effort considérable. Cet auteur appelle alors à une entraide entre ces deux profils. Dumas (2012) suggère la création de réseaux de personnes âgées où certains seniors accompagnent d’autres seniors plus âgés, avant d’eux-mêmes être accompagnés quelques années plus tard. 

Le rôle du numérique et des gérontechnologies 

Les nouvelles technologies de l’information et de la communication apparaissent comme un moyen de faciliter la vie des personnes âgées et de leurs aidants, familiaux et professionnels. Dans ce contexte, elles sont parfois nommées gérontechnologies, ce qui fait référence à « l’étude de la technologie et du vieillissement menée dans un but de concevoir un meilleur cadre de vie et de travail ainsi que des soins médicaux adaptés aux personnes âgées dépendantes » (Clément et al, 2005). 

Le numérique est un outil clef pour de nombreuses personnes âgées, et des auteurs ont pu identifier plusieurs usages. Certaines technologies sont destinées à compenser les déficiences des seniors ou bien à stimuler leurs capacités mentales ou physiques (Bobillier-Chaumon & Oprea Ciobanu 2009, Cornet & Carré 2008). D’autres technologies peuvent permettre aux seniors de maintenir du lien social, en leur fournissant des renseignements sur les activités sociales et culturelles, des moyens d’échanger avec des membres d’une association, de rester en contact avec leur réseau professionnel (Brugière 2011, Cornet & Carré 2008).

Pour certains auteurs, les technologies devraient principalement être des facilitateurs, pour assurer la relation entre le patient et ses aides (Rialle, 2015). La mobilité inversée, consistant à faire venir au domicile de la personne âgée biens et services au lieu de se déplacer, a été encouragée par les nouvelles technologies, au travers de la télésanté, les livraisons et les achats dématérialisés (Bobillier-Chaumon & Oprea Ciobanu 2009, SilverEco.fr 2015, Auxilia 2014). Les aidants familiaux se trouvent également aidés par l’avènement des technologies. Certaines technologies en lien avec l’environnement et le lieu de vie du senior cherchent à alléger les tâches difficiles de soin de l’aidant familial, comme des systèmes de télé-sécurité, de géolocalisation ou encore de domotique améliorant le confort de l’habitat (Rialle 2008, Cornet & Carré 2008). Enfin, une application numérique, ou un site en ligne, apparaissent comme un moyen facile de centraliser l’offre de transport, mentionné précédemment, facilitant la mobilité des personnes âgées et allégeant le travail des aidants familiaux, alors moins sollicités pour des déplacements (Flochlay, 2015). 

Toutefois, si les promesses du numérique sont attirantes, ce n’est pas une panacée et de nombreux auteurs mettent en garde sur les risques qui y sont liés. D’une part la fracture numérique touche les personnes âgées. De nombreux auteurs insistent sur la complexité de la relation que les seniors nouent avec les nouvelles technologies. Il ne s’agit pas uniquement d’un fossé générationnel, mais d’une fracture causée par une diversité de situations, liée, entre autres, aux catégories socio-professionnelles, au revenu, au lieu de vie et nombre de personnes dans le foyer (Brugière, 2011). L’adoption du numérique par les seniors serait liée à une crainte d’altérer une routine, et nécessiterait alors une remise en question des modes de vie et des habitudes (Brugière 2011, Gucher 2012).

D’autre part, de nombreux auteurs soulignent le risque qu’une utilisation des nouvelles technologies conduiraient au renforcement du sentiment d’être vieux. Des interfaces simplifiées et une réduction des technologies simplement à un rôle d’assistance médicale et sociale entraînerait une déresponsabilisation de la personne âgée, envoyant le message qu’on ne peut pas lui faire confiance (Brugière, 2011). Bobillier-Chaumon & Oprea Ciobanu (2009) dénoncent la création d’une nouvelle dépendance technologique et d’un nouveau profil : la personne âgée assistée techniquement. Ces auteurs désignent ainsi les technologies comme des « marqueurs de vieillesse »; pour d’autres elles entraînent une « déshumanisation des soins » (Rialle, 2015). Enfin, pour les seniors, utiliser les technologies a un effet stigmatisant et renforce le sentiment d’être vieux, puisque ceci revient à reconnaître ses déficits physiques ou cognitifs (Gucher, 2012). 

bibliographie

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Vieillir au centre de la ville plutôt que dans ses marges

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Des technologies qui infantilisent et isolent ou des technologies créatrices de lien ?

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Usages, normes, autonomie : analyse critique de la bibliographie concernant le vieillissement de la population

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Technologies pour le soin, l’autonomie et le lien social des personnes âgées : quoi de neuf ?

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La prise en compte du vieillissement dans les écoquartiers : l’exemple de la participation autour de la résidence intergénérationnelle de Saint-Cyprien (Poitiers),

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Technologies du « bien vieillir et du lien social » : questions d’acceptabilité, enjeux de sens et de continuité de l’existence – la canne et le brise-vitre

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Smart city : les seniors, grands oubliés des politiques de transport ?

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